Convalescence

Milady le laissa faire et se laissa déposer doucement sur le lit. Elle l'attira à lui et acheva de déboutonner sa chemise. Là, enfin, il lui appartenait! Ce qu'elle s'apprêtait à faire lui répugnait et l'excitait tout à la fois. Elle devait s'offrir à son bourreau, mais elle le possédait. Elle le laissait faire, mais elle le tenait entre ses mains. Elle le laissa lui découvrir les épaules, puis la poitrine, tout en lui caressant les épaules et le torse.

Le coeur d'Aramis battait à tout rompre. Il s'arracha avec difficulté à ses caresses pour fermer les rideaux de velours, plongeant la chambre dans la pénombre. Revenant alors à elle, le jeune homme découvrit la demoiselle avec toute la tendresse et la délicatesse dont le plus noble gentilhomme était capable. Les charmes de Marie-Jeanne s'offraient à lui, doux, suaves, étourdissants. Sa respiration s'accélérait à mesure qu'il la caressait. Il la laissa le découvrir de ses mains...

La journée s'écoula comme dans un rêve, oscillant entre un demi-sommeil et l'ivresse de leurs caresses, oscillant entre des instants de fougue et de désir fou et une infinie tendresse et beaucoup de douceur; douceur de sa part à lui, pour ne pas la blesser et liberer la confiance qu'elle lui offrait; douceur de sa part à elle, pour ne pas endommager ses bandages ni toucher ses blessures.

Vers les deux heures, Aramis se leva pourtant, enfila une robe de chambre et commanda à Bazin de préparer un plateau de nourriture et de le laisser à l'entrée de sa chambre. Bazin s'exécuta non sans une certaine anxiété. Il commençait à prendre conscience du fait qu'il n'avait pas vu ressortir Marie-Jeanne. Selon toute probabilité, elle était donc encore là, cette créature...

À l'approche du crépuscule, la jeune femme sourit au jeune mousquetaire, se rhabilla lentement, lui donnant un dernier chaud et doux baiser. Elle devait repartir...

Repu d'amour, Aramis laissa le sommeil le gagner, heureux comme peut l'être un jeune homme qui vient de découvrir les charmes de la plus belle créature du monde...

( HJ : Les mecs, tous les mêmes... après l'amour, ils s'écroulent comme des masses, mdr !! Très chouette les modifs )

(HJ: J'espère que Marie-Aude sera de ton avis... Moi, je trouve ça encore très maladroit )

( HJ : EH, t'en fais pas, mdr, en même temps c'est qu'un RPG sans prétention )

(HJ : Oui, nous ne sommes pas Marivaux...!

Y'a juste un truc...

*Le lieutenant Colombo se retourna vers le suspect, l'index interrogateur : Heu...Juste une dernière chose...Est-ce qu'ils ne devraient pas mourir de faim, là ? Une journée entière, comme dirait ma dame, ca creuse !!!*

Et oui, après l'amour, j'en connais qui fume, mais tous les autres mangent ! Après, soit ils font dodo, soit...ils remettent ca !) [/center]

( HJ : C'est pas romantique... )

(HJ: Ils....... remettent ça??? Incroyable!)

( HJ : Mais si, avec des chandelles et des regards doux !

Est-ce que tu te rends compte que ces deux petits jeunes ont fait beaucoup de sport dans la journée et qu'ils n'ont rien mangé depuis le matin ? Quel cuistre renverrait une jolie femme chez elle sans lui offrir quelques douceurs ?


Ah...Le viel Aramis doit en avoir des souvenirs de jeunesse !)

(HJ: Eh! Mais j'y pense! Ketty doit s'evader seulement quand Vaudois sera chez Aramis... Pour qu'elle le reconnaisse...

Pour le reste...

*tombe à genoux*

S'il te plaît, fais les corrections, toi, moi j'en peux plus...)

Laisse tomber le dîner aux chandelles et l'arrivée de Kitty, c'est mieux effectivement qu'elle reconnaisse Vaudois !
Pardon de me mêler de ce qui ne me regarde pas. C'est plus fort que moi !!!

(HJ : Bon, la critique et aisée et je serais bien cuistre de te laisser dans l'embarras, amiga mia ! Voilà une proposition...)


La matinée était largement avancée, et un rayon du soleil filtra doucement à travers le doux velours, les atteignant. Marie-Jeanne se plongea vers le mur, dans le coin du lit le plus obscur. Il pensa que c'était par pudeur, aussi redoubla-t-il de tendresse et de douceur.

La journée s'écoula comme dans un rêve, oscillant entre un demi-sommeil et l'ivresse de leurs caresses, oscillant entre des instants de fougue et de désir fou et une infinie tendresse et beaucoup de douceur; douceur de sa part à lui, pour ne pas la blesser et liberer la confiance qu'elle lui offrait; douceur de sa part à elle, pour ne pas endommager ses bandages ni toucher ses blessures.

Vers les deux heures, Aramis se leva pourtant, enfila une robe de chambre et commanda à Bazin de préparer un plateau de nourriture et de le laisser à l'entrée de sa chambre. Bazin s'exécuta non sans une certaine anxiété. Il commençait à prendre conscience du fait qu'il n'avait pas vu ressortir Marie -Jeanne. Selon toute probabilité, elle était donc encore là, cette créature...

À l'approche du crépuscule, la jeune femme sourit au jeune mousquetaire, se rhabilla lentement, lui donnant un dernier chaud et doux baiser. Elle devait repartir...

Repu d'amour, Aramis laissa le sommeil le gagner, heureux comme peut l'être un jeune homme qui vient de découvrir les charmes de la plus belle créature du monde...

(HJ: Adopté, amiga Je n'aurais jamais pensé à ça... Un intermède, qui en plus permet à Bazin de se poser des questions... Lui ne va certes pas tenir sa langue, je crois, mdrrrrrr! et je crois qu'Aramis va avoir tout au moins une... explication... avec la fière duchesse... ouch...)

( HJ : ça sent la baffe... )

Aramis a écrit:

(HJ: Adopté, amiga Je n'aurais jamais pensé à ça... Un intermède, qui en plus permet à Bazin de se poser des questions... Lui ne va certes pas tenir sa langue, je crois, mdrrrrrr! et je crois qu'Aramis va avoir tout au moins une... explication... avec la fière duchesse... ouch...)

(HJ: oui, Milady aimerait beaucoup beaucoup que la duchesse soit au courant de l'aventure d'Aramis avec elle... )

(HJ: Comme Andro dit bien... La baffe, sans doute... maintenant... Ma parole, mais je suis en train de m'organiser pour faire un monologue, là, mdrrrrrrrrrr! Je suis et Aramis et la duchesse... Je me demande si c'est un bien ou un mal pour Aramis, cette circonstance........ )

( HJ : T'inquiète pas, si tu deviens définitivement schizo, on viendra souvent te voir à l'hôpital, avec des chocolats fourrés à la myrtille... )

(HJ: des... myrtilles??? Est-ce que c'est bon?)

( HJ : Viiiiiiiiiiiiii, c'est bon )