Découverte...

VAudois avait eu toutes les peines du monde à suivre les trois amis dans la rue. DAns un premier temps, il ne craignait pas trop d'être vu par l'un des mousquetaires, car la population était massive sur les quais de la scène, mais arrivés sur la rue de Vaugirard, les lieux étaient à peu près désert. POurtant les trois amis étaient trop à leur discussion et à leurs rires pour percevoir un seul isntant sa présence.

Enfin, au terme de leur marche, les trois soldats virent heurter la porte d'une charmante petite maison et entrèrent.

Vaudois n'avait pas prévu cette issue. Il s'était imaginé que d'Artagnan, Athos et Porthos iraient sans aucune douter fêter leur victoire autour d'une bonne chopine de vin. Perplexe, Vaudois longea les murs qui ceingnaient un petit jardin ombragé. MAlheur, il y avait une autre issue. VAudois examina les épais murs, assez haut. Il cherchait une prise pour pouvoir essayer de pénétrer dans la maison. MAis il rougit bien vite à cette idée, plutôt celle d'un voleur que d'un gentilhomme. Tout à coup, il entendit un bruit de voix dans le jardin.

-Nous avons échangé nos adversaires...

- Par exemple, mais c'est assez peu académique ! Il ne me semble pas que les traiés sur les duels...

- Aramis, ami, s'il vous plait, citez- nous les Evangiles si cela vous chante, mais la paix avec les traités !

- Bien sûr...Continuez d'Artagnan.

- Athos a reconnu Vaudois, son allié du Renard vert...Témoin de Brézé.

- Diantre !

- Comme vous dîtes.

Vaudois tendit l'oreille. Il s'approcha et écouta bientôt avidemment ce que ces voix disaient.

Bazin, qui sortait de la maison pour secouer un tapis, aperçu l'homme qui paraissait écouter les propos de son maître.

- Holà, drôle! Que faites-vous là?

Entendant ces mots, Aramis et ses compagnons se turent.

- Que se passe-t-il, Bazin?

VAudois était accroché à chacun des mots qui se prononçait à l'intérieur de la petite maison. Toute son attention était concentrée sur je jardin. Aussi ne vit-il pas un laquais sortir du rez-de-chaussée et qui, l'avisant, l'apostropha rudement:
-Hola, que faites-vous là, drôle!!

Vaudois se retourna tel un lion. MAis le bruit qu'avait fait le laquais attira les mousquetaires à l'extérieur.
-Que se passe-t-il Bazin?

Vaudois pâlit et leva les yeux vers la voix. D'Artagnan, Athos, Porthos et...

Vaudois laissa échapper un cri de surprise.

- D'Herblay!

Aramis, d'abord aussi étonné, s'empressa de s'avancer vers lui en souriant.

- Ah çà, c'était donc bien vous, Vaudois!

Il lui prit le bras, qu'il serra chaleureusement, à la manière des Huguenots. Bazin, voyant que son maître reconnaissait le gentilhomme, rentra à l'intérieur sans plus rien dire. Aramis souriait toujours, et son regard brillait de cet éclat particulier qu'il avait lorsqu'une pensée lui traversait l'esprit. Il posa ses mains sur les épaules de Vaudois, et dit à voix basse:

- Je suis bien aise de vous revoir, mon frère.

Vaudois était encore tout abasourdi par cette découvrrte. Lui qui d'ordinaire cachait si bien ses émotions aux autres...

Aramis lui avait serré la main, d'une pression qui était toute particulière à ceux de leur religion. Vaudois murmura de nouveau en se laissant entraîner par son vieil ami
- D'Herblay!

D'un seul coup, un flot de souvenirs amers surgit et enveloppa VAudois, qui baissa la tête, écrasé par leur poids.

D'Herblay...Son ami était là. Il était celui qui se cachait sous le mousquetaire Aramis... Par quel coup de la Providence...

L'expression émue de son ancien camarade vint droit au coeur d'Aramis. Il l'entraîna en effet à l'intérieur des murs du jardin, où ses trois amis les suivirent, surpris.

- Athos, Porthos, D'Artagnan, Vaudois que voici et moi avons étudié ensemble au même séminaire. C'est une chose extraordinaire pour moi que de le revoir.

Disant ces mots, il serrait plus fermement la main du gentilhomme protestant, de manière à ce qu'il comprenne qu'il avait quelque chose de particulièrement important à lui communiquer.

Bazin sortit de la maison sur ces entrefaites, portant un plateau sur lequel trônait deux bouteilles de vin, 5 verres et une assiette de pâtisseries. Aramis se tourna à nouveau vers Vaudois, tandis que le laquais servait tout le monde.

- Qu'êtes-vous donc devenu toutes ses années, mon camarade?

Se remettant doucement de son émotion, vaudois se sentit envahi par la chaleur que lui témoigna aussitôt d'herblay en le voyant. Il s'était laissé entraîné et présenté à d'Artagnan, Athos et Porthos, en souriant doucement, pour la première fois depuis bien longtemps. Un vrai sourire, parti du coeur... D'Herblay lui serra la main d'une pression étrange pour lui signifier qu'il avait à lui parler en particulier.

-Qu'êtes-vous docn devenu toutes ces années, mon camarade? demanda Aramis, d'une voix douce.
-Mmmmm... à vrai dire, fort peu de choses, depuis .... Vaudois s'interrompit, sembla hésiter et un nuage impreceptible passa sur son front, ...depuis cette malheureuse "affaire". J'ai dû à peu près oublier toutes ces belles maximes que les ...frères... nous avaient ensignées.
Certains mots écorchaient encore sa bouche, malgré toutes ces années.
- Votre "Jean" ou plutôt Vaudois a suivi la voie que les frères lui avaient prédite autrefois, en un mot... continua-t-il d'un ton cynique.

La tendresse et l'éclair de compassion qu'il lut à cet instant dans lesq yeux de son ancien camarade rafraîchit Vaudois comme une eau désaltérante.
-MAis vous, mon ami, comment le séminariste brillant que vous étiez est-il devenu le mousquetaire Aramis?

À cette question, Porthos fit entendre un rire jovial.

- Tout est affaire de vers, Monsieur Vaudois.

À la question indirecte dans les yeux de Vaudois, Aramis sourit en secouant la tête.

- Porthos a raison. Peu après votre départ, je me suis mis à aller régulièrement dans une maison, et j'aimais tout particulièrement traduire la vie des Saints en vers pour la dame. Or un jour, un homme m'a menacé de me rouer de coups de canne si jamais je retournais dans cette maison. À cette insulte, je me devais de répondre. J'ai donc déclaré au Père abbé que je ne me sentais pas prêt pour l'ordination, et on remit la cérémonie. Alors durant une année, je pris tous les jours une leçon d'escrime, et au jour anniversaire de celui où l'homme m'avait insulté, j'allai le trouver, je le provoquai et le tuai roide. Cela, comme vous pouvez l'imaginer, a fait scandale. Aussi ai-je dû renoncer à la soutane. Mais Athos et Porthos, que je connus à ce moment-là, me convainquirent de prendre la casaque, que j'obtins facilement grâce aux états de service de mon père.

Toute de même, quelqu'un devrait soigner Vaudois qui a pris deux coups d'épée..

.Je trouve qu'Athos, d'Artagnan et Porthos régissent assez peu alors qu'ils viennent de retrouver leur ennemi en sang , en train de les espionner dans le jardin...

Cela dit,
Aramis, vas-tu mettre la suite dans la contuité...Ce lien est perturbant ! Est ce un lien anti flood ?

J'ai eu une surprise en voyant toutes ces rapières!!!!
Ouah, des rapières, plein de rapières..

( HJ : Athos était à Bruxelles, il a pas eu beaucoup le temps de réagir
Moi aussi j'ai cligné des yeux en voyant toutes ces zolies zépées ! Très beau bravo )

Athos avait poussé une exclamation de surprise en reconnaissant Vaudois apparaître sur le seuil de la chambre d'Aramis.

-M. Vaudois, vous ici ?

Le mousquetaire, avec l'aide d'Artagnan et Porthos, introduisit, installa et présenta le gentilhomme protestant. Et quelle ne fut pas sa surprise lorsque lui et Aramis se reconnurent ! Ainsi donc, ils avaient été compagnons de séminaire ? Dieu que le monde était petit...

Tandis que les deux hommes pépiaient en évoquant leurs souvenirs communs, Athos sembla remarquer, à l'instar de d'Artagnan, un léger bruit de goutte à goutte... Vaudois perdait sa sève, le gascon l'ayant sans doute trop bien élagué un peu plus tôt.

Aramis, venant de terminer son réçit, s'apercu soudain de la pâleur du gentilhomme protestant... Et perçu aussi le léger bruit que faisait le liquide rubis... Il posa une main sur le bras de Vaudois, l'examina avec attention, puis, avec délicatesse, écarta doucement la mèche de cheveux. Il en eut le souffle coupé. La moitié du visage du son ami était couverte de sang!

- Mordious ! Vaudois, vous perdez votre sang, s'exclama d'Artagnan.

- C'est que vous n'y êtes pas allé avec le dos de la cuillère, mon cher..

Vaudois avait beau posséder un parfait empire sur lui même, il avait le souffle court et les dents serrées. Les quatres mousquetaires s'aperçurent alors de sa grande pâleur. Ses blessures, certes, n'étaient pas mortelles, encore eut-il fallu prendre le temps de les panser.

- Morbleu! BAZIN!

Le laquais sortit à l'extérieur, alarmé.

- Apportez une nouvelle bassine d'eau, des linges propres et de la charpie! Et faites vite, pour l'amour du ciel!

Le laquais disparu dans la maison, tandis qu'Aramis se tournait à nouveau vers son ancien camarade, le coeur pincé d'un sentiment de tristesse.

- Et moi qui n'avais rien vu! Ah, mais je ne m'en corrigerai donc pas!

Tout au long de leurs études, complètement absorbé par ses études théologiques et scholastiques, Aramis ne s'était jamais aperçu de la détresse de son ami brimé par leurs camarades séminaristes. Il avait été certes amical avec Vaudois, mais n'avait jamais vraiment été là pour lui apporter un véritable soutien... Et il reproduisait la même erreur, même aujourd'hui!

Bazin arriva presque en courant, et pâlit en voyant le visage du jeune homme, et surtout son oeil. Il ouvrit la bouche, mais Aramis le fascina d'un regard terrible.

- Ce sera tout, Bazin, je vous remercie. Vous pouvez retourner à vos occupations, nous saurons nous occuper de notre camarade. Allez!

Il voulait surtout éviter que le laquais ne panique ou ne fasse un commentaire désobligeant à l'égard de la particularité occulaire de son ami. Il entreprit de lui éponger le front et la joue, enlevant le sang qui maculait les traits autrement fins et délicats de son compagnon... Les mêmes traits que... elle...

Porthos avait dégaîné sa dague. Vaudois eut un mouvement de recul. Mais le géant éclata de rire et découpa avec minutie la chemise déchirée et ensanglantée du huguenot. Le torse et le bras droit à vif du jeune homme apparurent alors et d'Artagnan se mit aussitôt à nettoyer les plaies. Aramis et ses amis virent alors que le haut du corps de Vaudois était couvert de cicatrices anciennes de toute nature. Un peu comme s'il avait jadis été soumis à la question, un peu comme s'il avit eu à subir dans sa jeunesse des châtiments corporels bien cruels.

Voyant cela, Aramis ne put empêcher un mouvement de recul, il devint fort très pâle et baissa les yeux...

Tout le monde se tut, un peu gêné. D'Artagnan pensa qu'il était temps d'alléger l'atmosphère. Il prit la bouteille d'armagnac et demanda en forçant son propre accent et en prenant à la fois un air menaçant, susceptible et comique :

- J'espère que vous n'avez rien contre les Armagnacs ?

Vaudois hocha la tête négativement en tentant un faible sourire. D'Artagnan renversa l'alcool sur le linge propre que lui tendait Athos et tendit la bouteille à Porthos qui en distilla quelques goutes sur les blessures. Vaudois se mordit les lèvres mais ne dit rien.

Aramis se tenait en retrait, son regard était absent, il était plongé dans ses pensées...Plus précisément dans des souvenirs douloureux, plus particulièrement encore pour Vaudois...

Athos, le linge inbibé d'alcool à la main s'occupait à présent de nettoyer les blessures de Vaudois. Il devinait le regard expressif, à la fois étonné et amusé que le protestant posait sur lui. Il laissa ses lèvres s'étirer en un sourire.

-Equipiers d'un instant, adversaires d'un après-midi, et enfin réconciliés autour d'un flacon d'Armagnac à moitié vide... Vous croyez cela possible, vous ? Grommela finalement Vaudois, d'un ton bourru mais rieur.

-Tout est possible, avec nous, M. Vaudois. Répliqua tranquillement d'Artagnan, qui changeait les linges.

-C'est vrai, dit Athos. Vous n'êtes pas tombé sur les plus dociles citoyens de Paris...

-Non, mais... Je pense que je ne perds pas au change... Grinça celui ci tandis que le mousquetaire soulevait son membre blessé pour arracher les dernières fibres de tissu restées collées à la plaie.

Aramis, de son côté, ne disait toujours rien. Plongé dans ses souvenirs, il regardait Vaudois et Athos discuter, tandis que l'on s'occupait des blessures du protestant.

Par où commencer à expliquer, comment justifier ce qu'il avait sous les yeux? Que dire à cet homme marqué par leur passé pour le soulager? Et était-ce possible? Et que dire du secret qu'il était désormais grand temps qu'il apprit... Le secret, et toutes ses implications?

Le sang battait aux tempes d'Aramis sous la pression de ses pensées.

Athos avait pansé le bras de Vaudois, lequel grognait à présent sous la pression des doigts du mousquetaire qui lui coupait quelques mèches de cheveux afin de pouvoir soigner correctement son visage.

-Arrêtez de bouger, Vaudois, ou je laisse ma place à Porthos. Et lui, je vous garantit qu'il vous fera tenir tranquille. Et il est beaucoup moins patient que moi...

Pendant ce temps, d'Artagnan observait Aramis. Les signes de la plus vive agitation intérieure se peignaient sur son visage lorsqu'il regardait le gentilhomme protestant.

Y aurait-il encore une révélation, ce soir, dans la chambre de René d'Herblay ?

(HJ: Mais comment réagis Vaudois?)

Aramis s'approcha de la fenêtre et s'y accouda, appuyant son front sur son poing, mi-pensif, mi-attentif à ce qui se passait dans la pièce (on est passé du jardin à l'intérieur sans que je ne m'en rende compte ). Il posa son regard sur le visage du gascon. Celui-ci le regardait. Un regard interrogateur, méditatif, vif comme l'esprit qui l'animait.

Il serait bientôt temps pour ses compagnons de partir faire leur garde au Louvre. Et alors, il pourrait donner à Vaudois la partie de lui-même qui avait manqué toutes ces années....

( HJ : Beh... Il râle, mdr )

Vaudois lui aussi, regardait Aramis. Son oeil valide, couleur de mort, n'avait jamais été si vivant qu'en cet instant. Parce que la lueur qui brillait là, tout au fond, juste après l'éclat de lumière de la pupille... C'était de l'espoir. Tout dans l'attitude du chevalier criait qu'il venait de retrouver au fond de lui un souvenir rare et précieux... Et Vaudois avait senti son coeur battre plus fort au regard que le chevalier lui avait lancé.

Ce fragment de mémoire, rare et précieux, lui appartenait.

Et pour lui, qui n'avait jamais rien possédé, rien, rien d'autre que le mépris et la colère, la douleur et la rancune, la solitude et le cynisme... Cette petite promesse, aussi fragile qu'un regard, de retrouver bientôt quelque chose, c'était comme trouver le bouton d'une porte, et l'ouvrir... Une porte que l'on aurait palpé toute sa vie, comme un aveugle, en croyant se heurter à un mur...

Il était temps pour les trois compagnons d'Aramis de partir pour leur garde au Louvre. Ils saluèrent les deux qui demeuraient, et Aramis les regarda partir avec un sentiment d'impatience. Comme il avait hâte de pouvoir enfin retourner avec eux! Ce congé forcé ne lui valait rien, pas même le repos.

Il se tourna à nouveau vers Vaudois, qui était assis sur le lit. Il avança une chaise plus près et s'assit auprès de son compagnon. Il ne savait comment entamer la conversation. Il eut un sourire amical à l'égard de son compagnon.

( HJ : Bon... Comme c'est à moi que M. Vaudois a confié les clés de son âme pendant qu'il se dore la pilule au soleil, je continue ? )

(HJ: En effet... )

Athos, Porthos et d'Artagnan avaient effectivement pris congé de leurs compagnons, devoir oblige.

Le puritain et l'abbé profane étaient restés seuls dans la chambre.
L'un regardait avidemment l'autre.
Attendant d'écouter ce que l'on avait à lui dire.

Aramis garda le silence encore un long moment, observant de son regard tranquille la physionomie fine et volontaire de son ancien camarade séminariste. Il savait que c'était à lui d'entamer la conversation, de livrer ce secret qu'il avait gardé dans son âme comme un trésor... ou une malédiction...

- Que devenez-vous, mon ami?

Il avait posé cette question d’une voix douce, le regard rivé dans celui de son compagnon. Un regard dénué de dissimulation, empreint de franchise et d’amitié.

Vaudois désigna en souriant son oeil et son bras blessé.

-Ma foi, je fais de l'exercice... Grinça t-il.

Vaudois regardait Aramis. Si le ton était railleur, l'oeil était droit et franc. Celui que l'on avait autrefois appelé Jean sentait bouillir en son âme le feu de l'impatience. Mais également... quelque chose qui ressemblait à de l'appréhension.

Aramis avait sa réponse, quand bien même Vaudois ne l'avait pas exprimé. Il avait lu tout au fond de son regard, et voyait l'anxiété que vivait son compagnon, l'impatience...

Le moment était venu, à n'en point douter. Le jeune mousquetaire-abbé se leva lentement de sa chaise et s'approcha de la cheminée. Là, il marqua une courte hésitation, comptant quelques briques à partir du haut, sondant légèrement de son doigt replié. Enfin, il appliqua une pression sur une brique particulière, qui s'enfonça légèrement. Un compartiment camouflé dans la brique s'ouvrit, révélant un coffre poussiéreux, qu'Aramis sortit. Il passa une main sur l'inscription couverte de poussière et fit un léger sourire... Que de souvenirs pareille signature faisait remonter dans son esprit...

Il posa le coffre sur la table, puis regarda une fois de plus le Huguenot en souriant.

- Avez-vous encore le médaillon que je vous avais donné, Vaudois?

( HJ : Ca fait Lara Croft, tout ça XD Quel médaillon, au fait Oo ? )

Vaudois cligna des yeux. Il eut besoin d'une seconde pour répondre.

-Oui... Oui, bien sûr.

Ses yeux étaient fixés sur le manège d'Aramis, et sur la cassette qu'il venait de ressortir...

(HJ: euh... Lara qui? )

Aramis sourit encore, attendri.

- L'avez-vous avec vous?